jeudi 30 septembre 2010
mercredi 15 septembre 2010
lundi 13 septembre 2010
CLAP IVOIRE 2010-Le triomphe de femmes lobi | Cinema - Monsaphir
CLAP IVOIRE 2010-Le triomphe de femmes lobi | Cinema - Monsaphir
Les lampions se sont éteints sur la 10è édition du concours de courts métrages de fictions et de documentaires des jeunes cinéastes de l’espace UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine). C’est le documentaire Lobikher, femmes lobi de l’Ivoirien Jean Noël Boyou qui a remporté le grand prix Kodjo Ebouclé.
Pour le nouveau lauréat tout sourire, son film de 13 minutes « montre comment la femme lobi vit dans sa société et partant, comment déceler les moyens susceptibles d’aider à son épanouissement social. » En plus du trophée de vainqueur, Jean Noël Boyou est parti avec 3 millions de francs CFA dont 2 millions de Clap Ivoire et 1 million du ministre de la Culture et de la Francophonie.
Mais Boyou n’a pas été le seul heureux du 10è anniversaire de Clap Ivoire. Dans la catégorie fiction, le premier prix d’une valeur d’un million est attribué au Sénégalais Mamadou Thiandoume avec son film La Reine et le soleil. Il est secondé dans le même genre par Le destin de l’Ivoirienne Ingrid Boka. Elle a reçu 500 mille francs CFA. En documentaire, la première place dotée d’un million de francs CFA, est revenue à Les pieds dans l’eau (Mbeune-Mi) d’El Hadji Mamadou Niang dit Leuz, un autre Sénégalais.
Hlan, la sève nourricière en danger de la Béninoise Laurence Agossou arrive en deuxième position. Sa performance a été sanctionnée d’une enveloppe de 500 mille francs CFA. Canal+ Côte d’Ivoire, partenaire de Clap Ivoire est la donatrice des différents prix intermédiaires allant de 350 à 600 mille de nos francs.
Cette année, la CEDEAO a récompensé chaque réalisateur participant à la compétition avec 50 mille francs FCFA. A côté de la cérémonie de proclamation des résultats qui s’est tenue à l’espace Allocodrome de Yopougon Niangon le vendredi 3 septembre, le clap de fin de Clap Ivoire 2010 a été un somptueux dîner convivial donné le samedi 4 septembre au Wafou.
Les lauréats, les invités, les partenaires, le comité d’organisation et quelques cinéastes reconnus de Côte d’Ivoire se sont dit au revoir en toute beauté.
Vive Clap Ivoire 2011 !
Les lampions se sont éteints sur la 10è édition du concours de courts métrages de fictions et de documentaires des jeunes cinéastes de l’espace UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine). C’est le documentaire Lobikher, femmes lobi de l’Ivoirien Jean Noël Boyou qui a remporté le grand prix Kodjo Ebouclé.
Pour le nouveau lauréat tout sourire, son film de 13 minutes « montre comment la femme lobi vit dans sa société et partant, comment déceler les moyens susceptibles d’aider à son épanouissement social. » En plus du trophée de vainqueur, Jean Noël Boyou est parti avec 3 millions de francs CFA dont 2 millions de Clap Ivoire et 1 million du ministre de la Culture et de la Francophonie.
Mais Boyou n’a pas été le seul heureux du 10è anniversaire de Clap Ivoire. Dans la catégorie fiction, le premier prix d’une valeur d’un million est attribué au Sénégalais Mamadou Thiandoume avec son film La Reine et le soleil. Il est secondé dans le même genre par Le destin de l’Ivoirienne Ingrid Boka. Elle a reçu 500 mille francs CFA. En documentaire, la première place dotée d’un million de francs CFA, est revenue à Les pieds dans l’eau (Mbeune-Mi) d’El Hadji Mamadou Niang dit Leuz, un autre Sénégalais.
Hlan, la sève nourricière en danger de la Béninoise Laurence Agossou arrive en deuxième position. Sa performance a été sanctionnée d’une enveloppe de 500 mille francs CFA. Canal+ Côte d’Ivoire, partenaire de Clap Ivoire est la donatrice des différents prix intermédiaires allant de 350 à 600 mille de nos francs.
Cette année, la CEDEAO a récompensé chaque réalisateur participant à la compétition avec 50 mille francs FCFA. A côté de la cérémonie de proclamation des résultats qui s’est tenue à l’espace Allocodrome de Yopougon Niangon le vendredi 3 septembre, le clap de fin de Clap Ivoire 2010 a été un somptueux dîner convivial donné le samedi 4 septembre au Wafou.
Les lauréats, les invités, les partenaires, le comité d’organisation et quelques cinéastes reconnus de Côte d’Ivoire se sont dit au revoir en toute beauté.
Vive Clap Ivoire 2011 !
mardi 7 septembre 2010
Clôture de la 10e édition de Clap Ivoire : L`Ivoirien Jean Noël Boyou enlève le grand prix Kodjo Ebouclé
Abidjan.net Clôture de la 10e édition de Clap Ivoire : L`Ivoirien Jean Noël Boyou enlève le grand prix Kodjo Ebouclé Actualites
Ouverte le 1er septembre 2010, la 10e édition du Festival-concours de court métrage des jeunes réalisateurs de l'espace Uemoa a clos ses portes le vendredi 03 septembre à l'Allocodrome de Yopougon Niangon sud. Après délibération des membres du Jury, c'est l'Ivoirien Noël Boyou avec son film documentaire "Lobicker, femmes Lobi" qui a remporté le grand prix "Kodjo Ebouclé" doté d'une valeur de 2.000.000 F Cfa (deux millions Fcfa). En plus, le ministre de la Culture et de la francophonie, Moutaye Azoumana, a offert au gagnant du grand prix une somme de 1 million. A côté de cela, le prix de la meilleure fiction est revenu à Mamadou Thiandoume du Sénégal avec "La reine et le soleil". Le prix du meilleur documentaire a été enlevé par Mamadou Niang du Sénégal avec "Les pieds dans l'eau". Il y a eu également de nombreux prix spéciaux et des récompenses. Pour Komlan Agbo, représentant de l'Uemoa qui a donné les résultats du concours, ce qui a motivé le jury dans le choix du film documentaire de Jean Noël Boyou comme vainqueur du grand prix Kodjo Ebouclé " c'est que ce film met en valeur la femme qui se bat pour son émancipation, sujet aux préoccupations des organisateurs de Clap Ivoire tout comme les partenaires ". En plus, selon lui, " le scénario est bien monté. Sur le plan technique, c'est une bonne réalisation, les images sont bonnes, bien tournées. Mais ce qui fait la différence, c'est l'aspect qui met en valeur la femme ". Le jeune réalisateur ivoirien lauréat de cette année a dit son ambition immédiate après son prix : " Mon ambition, c'est de me former dans le métier de réalisateur de film documentaire. Ce que je vais présenter comme projet au Cnac ". Le Dg Yao Norbert Etranny, pour sa part, a donné rendez-vous au monde du cinéma pour 2011 pour la 11e édition.
François Konan
Ouverte le 1er septembre 2010, la 10e édition du Festival-concours de court métrage des jeunes réalisateurs de l'espace Uemoa a clos ses portes le vendredi 03 septembre à l'Allocodrome de Yopougon Niangon sud. Après délibération des membres du Jury, c'est l'Ivoirien Noël Boyou avec son film documentaire "Lobicker, femmes Lobi" qui a remporté le grand prix "Kodjo Ebouclé" doté d'une valeur de 2.000.000 F Cfa (deux millions Fcfa). En plus, le ministre de la Culture et de la francophonie, Moutaye Azoumana, a offert au gagnant du grand prix une somme de 1 million. A côté de cela, le prix de la meilleure fiction est revenu à Mamadou Thiandoume du Sénégal avec "La reine et le soleil". Le prix du meilleur documentaire a été enlevé par Mamadou Niang du Sénégal avec "Les pieds dans l'eau". Il y a eu également de nombreux prix spéciaux et des récompenses. Pour Komlan Agbo, représentant de l'Uemoa qui a donné les résultats du concours, ce qui a motivé le jury dans le choix du film documentaire de Jean Noël Boyou comme vainqueur du grand prix Kodjo Ebouclé " c'est que ce film met en valeur la femme qui se bat pour son émancipation, sujet aux préoccupations des organisateurs de Clap Ivoire tout comme les partenaires ". En plus, selon lui, " le scénario est bien monté. Sur le plan technique, c'est une bonne réalisation, les images sont bonnes, bien tournées. Mais ce qui fait la différence, c'est l'aspect qui met en valeur la femme ". Le jeune réalisateur ivoirien lauréat de cette année a dit son ambition immédiate après son prix : " Mon ambition, c'est de me former dans le métier de réalisateur de film documentaire. Ce que je vais présenter comme projet au Cnac ". Le Dg Yao Norbert Etranny, pour sa part, a donné rendez-vous au monde du cinéma pour 2011 pour la 11e édition.
François Konan
lundi 6 septembre 2010
samedi 4 septembre 2010
Clap Ivoire 2010 : La bataille pour le prix Kodjo Ebouclé enclenchée
Clap Ivoire 2010 : La bataille pour le prix Kodjo Ebouclé enclenchée - Abidjan.net Actualites
Le lancement de la 10ème édition s’est déroulé le mercredi 1er septembre, au Palais de la Culture de Treichville. En effet, après les sélections au niveau de chaque pays du festival-concours Clap Ivoire, les candidats déclarés vainqueurs se sont retrouvés à Abidjan pour la phase finale. Sept pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine seront en compétition. A cette occasion, les participants ont eu droit à une rétrospective sur les 50 ans de cinéma africain grâce à la conférence tenue par le pionnier du cinéma africain, Timité Bassory, autour du thème : ‘’La situation du cinéma africain au sud du Sahara’’. «La situation du cinéma africain, précisément celui au sud du Sahara, n’a pas évolué. Ce cinéma vit toujours sous perfusion par des aides à la production des organismes internationaux», a indiqué le doyen du cinéma africain qui pense qu’il y a des cinéastes et des films africain, mais qu’il n’existe pas de cinéma africain, du moins, dans les pays au sud du Sahara. M. Norbert Yao Etranny, directeur du Centre National des Arts et de la Culture (CNAC) et par ailleurs coordonnateur général de Clap Ivoire, a indiqué que Clap Ivoire est un concours qui permet de déceler les talents, de développer l’esprit de créativité et amener les jeunes techniciens et réalisateurs à se familiariser aux techniques modernes de l’audiovisuel. Et cette année, ce festival-concours a décidé de célébrer ses homologues de la Côte d’Ivoire. Cette édition se veut particulière car elle veut célébrer à sa manière, le cinquantenaire de l’indépendance des sept pays participants. Chacun d’eux devrait projeter un film susceptible de représenter le cinquantenaire de son pays. Les débats, les tables-rondes, les panels sont prévus et ce jusqu’au 3 septembre. Clap Ivoire qui se veut la pépinière du cinéma africain, enregistre pour cette édition, deux réalisateurs ivoiriens, Boyou Jean Noël et Boka Ingrid. Notons la présence des personnalités telles que le ministre de la Culture, Anzoumana Moutayé, le maire de la commune de Yopougon, Gbamnan Guidan, le représentant de l’OIF, le représentant de l’UEMOA et bien d’autres invités.
Adèle Kouadio
Le lancement de la 10ème édition s’est déroulé le mercredi 1er septembre, au Palais de la Culture de Treichville. En effet, après les sélections au niveau de chaque pays du festival-concours Clap Ivoire, les candidats déclarés vainqueurs se sont retrouvés à Abidjan pour la phase finale. Sept pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine seront en compétition. A cette occasion, les participants ont eu droit à une rétrospective sur les 50 ans de cinéma africain grâce à la conférence tenue par le pionnier du cinéma africain, Timité Bassory, autour du thème : ‘’La situation du cinéma africain au sud du Sahara’’. «La situation du cinéma africain, précisément celui au sud du Sahara, n’a pas évolué. Ce cinéma vit toujours sous perfusion par des aides à la production des organismes internationaux», a indiqué le doyen du cinéma africain qui pense qu’il y a des cinéastes et des films africain, mais qu’il n’existe pas de cinéma africain, du moins, dans les pays au sud du Sahara. M. Norbert Yao Etranny, directeur du Centre National des Arts et de la Culture (CNAC) et par ailleurs coordonnateur général de Clap Ivoire, a indiqué que Clap Ivoire est un concours qui permet de déceler les talents, de développer l’esprit de créativité et amener les jeunes techniciens et réalisateurs à se familiariser aux techniques modernes de l’audiovisuel. Et cette année, ce festival-concours a décidé de célébrer ses homologues de la Côte d’Ivoire. Cette édition se veut particulière car elle veut célébrer à sa manière, le cinquantenaire de l’indépendance des sept pays participants. Chacun d’eux devrait projeter un film susceptible de représenter le cinquantenaire de son pays. Les débats, les tables-rondes, les panels sont prévus et ce jusqu’au 3 septembre. Clap Ivoire qui se veut la pépinière du cinéma africain, enregistre pour cette édition, deux réalisateurs ivoiriens, Boyou Jean Noël et Boka Ingrid. Notons la présence des personnalités telles que le ministre de la Culture, Anzoumana Moutayé, le maire de la commune de Yopougon, Gbamnan Guidan, le représentant de l’OIF, le représentant de l’UEMOA et bien d’autres invités.
Adèle Kouadio
vendredi 3 septembre 2010
C'est parti pour la 10e édition du Festival Clap Ivoire : 14 jeunes réalisateurs de sept pays de l'UEMOA en quête du trophée Kodjo Ebouclé 2010
Le festival de concours de courts métrages destinés aux jeunes techniciens et réalisateurs de l'espace UEMOA, se tient depuis le mercredi 1er septembre dans la capitale ivoirienne. La cérémonie d'ouverture qui a regroupé beaucoup de professionnels du cinéma de différents pays a eu lieu au Palais de la Culture de Treichville baptisé le 31 août dernier du nom de Bernard B. Dadier. Elle était placée sous la haute présidence du ministre de la culture et de la francophonie Azoumane Moutayé. Le Mali est présent à ce festival par deux films (fiction et documentaire).

Pour le coordonnateur du festival, Yao Norbert Etranny, le programme de cette édition jette un regard rétrospectif sur les 50 ans du cinéma africain à travers la projection de quelques films qui ont marqué cette période dans l'espace UEMOA.
La culture aujourd'hui constitue la meilleure arme face à la globalisation des échanges. Consciente de cela, l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) considère le festival Clap Ivoire aux dires de son représentant, Cheick Ndir, comme une contribution de qualité visant l'intégration des populations de notre espace communautaire.
Il a indiqué que l'UEMOA a choisi d'accompagner cet évènement pour non seulement encourager les jeunes réalisateurs, mais également pour marquer son engagement en faveur du développement des industries culturelles dans l'espace communautaire.
"Si les Etats africains ne peuvent rivaliser militairement, économiquement avec les pays développés, ils peuvent bien le faire sur le plan culturel " a t- il dit. Par ailleurs, l'occasion était bonne pour annoncer que l'UEMOA a lancé un appel à candidature pour la sélection des centres d'excellence dans les établissements formant les acteurs de la culture.
Pour le représentant de l'Organisation Internationale de la francophonie (OIF), Paul Charlemagne Coffee, Clap Ivoire est aujourd'hui, une rencontre qui compte dans l'agenda culturel de l'Afrique de l'Ouest. Cela est un grand honneur pour la Côte d'Ivoire. Ainsi, il estime que l'année 2010 est une année de bonheur pour l'Afrique pour avoir abrité la coupe du monde en Afrique du Sud et la célébration des 50 ans de l'accession des pays africains à l'indépendance.
Toute chose qui fera dire à M. le ministre, que Clap Ivoire qui se présentait comme une aventure ponctuelle, constitue aujourd'hui un véritable tremplin pour les jeunes techniciens et réalisateurs du cinéma ouest africain.
Par ailleurs, il a rappelé l'avis des initiés du septième art africain qui le qualifient de grand malade. Face à un tel diagnostic, il dira qu'une politique vigoureuse et adaptative est plus que jamais indispensable. " Par conséquent l'union, la solidarité et la quête constante de l'économie d'échelle, permettront d'affronter victorieusement les obstacles à notre cinéma afin de lui rendre sa place tant sur l'échiquier culturel qu'au plan de sa contribution à l'économie de nos pays" a t- il laissé entendre. Cela est possible, poursuit-il, si le septième art africain sait tirer avantage des atouts de la révolution numérique. A cet effet, il a tracé quelques pistes de réflexion et il fonde l'espoir sur une moisson abondante en films de qualité à l'édition 2010 de Clap Ivoire.
Ainsi, le doyen des réalisateurs, T'imité Bassori, a eu à faire un témoignage axé sur la situation du cinéma africain au sud du Sahara.
A l'Acodrome de Yopougon, c'est dans une atmosphère de festive, de convivialité que le premier magistrat de la mairie, Gbanmanan Djidan Jean Félicien a accueilli les festivaliers. Il a fait part de toute la joie pour sa Commune d'abriter la projection des films de Clap Ivoire depuis trois ans. Il a ainsi relevé que "nous croyons en la culture comme facteur de développement et de dénouement ". Le fan- far de la commune, la compagnie nationale de danse de la Côte d'Ivoire, les artistes chanteurs notamment Lagon Paulain, K Yop, Trompacte et des humoristes ont magnifié la soirée par leurs prestations avant de céder le podium à la projection des films documentaires et fictions.
Les candidates maliennes à savoir Hawa Sidibé et Sadio Simaga respectivement avec "Jakarta " et "Le pouvoir du gardien" ont été vivement applaudies après projection. Ce qui est un bon signe pour le Mali.
Fatoumata Mah Thiam KONE
Envoyée spéciale à Abidjan
clap ivoire : hommage À bernard dadiÉ - Abidjan news news225.net
clap ivoire : hommage À bernard dadiÉ - Abidjan news news225.net
l y a des cinéastes et des films africain, mais il n’existe pas de cinéma africain, du moins, dans les pays au sud du Sahara». Ces propos, le cinéaste Timité Bassory les a tenus au cours de la conférence inaugurale qu’il a animée dans le cadre du déroulement de la phase finale de Clap Ivoire, mercredi, au Palais Bernard Dadié. Le bilan qu’il dresse du cinéma africain n’est guère reluisant.«La situation du cinéma africain, précisément celui au sud du Sahara, n’a pas évolué. Ce cinéma vit toujours sous perfusion par des aides à la production des organismes internationaux ». Pour le réalisateur de «La femme au couteau», le 7è art est l’organisation de la production, de la distribution et de l’exploitation de films dans un espace donné par des structures artistiques, techniques et industrielles, pour assurer une production et une diffusion dans la constance. Or il n’existe rien de semblable sous les tropiques comme c’est le cas dans les pays européens, asiatiques et américains. D’ailleurs, l’homme explique que les différentes tentatives pour poser les jalons de l’industrie d’un ou des cinémas africains ont été annihilées.
Néanmoins, il n’est pas pessimiste sur toute la ligne. Il propose, entre autres, la constitution d’un marché sous-régional. C’est dans cette optique qu’il a salué l’initiative de Clap Ivoire, ce festival concours de courts métrages qui se propose de détecter des talents, la pépinière du cinéma au sud du Sahara de demain.
Bien avant cette conférence inaugurale faisant office de cérémonie d’ouverture, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Azoumana Moutayé, a fait remarquer que Clap Ivoire est l’illustration de la prise de conscience d’une vérité évidente à l’échelle régionale. En effet, pour lui, la similitude des problèmes, l’exiguïté des marchés conseillent à l’Uemoa de rechercher des solutions communes. Il a renchéri pour dire qu’avec le cinquantenaire des indépendances des pays participants, il fallait faire un clin d’œil aux 50 ans de leur cinéma.
Le représentant de l’Uemoa, Cheick Ndir, considère, pour sa part, Clap Ivoire comme une contribution de qualité visant l’intégration des populations de l’espace communautaire.
M. Charles Koffi Charlemagne de l’Organisation internationale de la Francophonie, tout comme le maire de Yopougon, Gbamnan Félicien, ont félicité les organisateurs de cet évènement et les ont assurés de leur soutien. Quant au coordonnateur de Clap Ivoire, par ailleurs directeur du Centre national des arts et de la culture, Norbert Etranny, il a évoqué le caractère particulier de cette 10e édition qui s’inscrit dans la mouvance du cinquantenaire, avec en ligne de mire, des films qui ont marqué ce demi-siècle.
Marie Chantal Obindé
Source : Fraternite-Matin
l y a des cinéastes et des films africain, mais il n’existe pas de cinéma africain, du moins, dans les pays au sud du Sahara». Ces propos, le cinéaste Timité Bassory les a tenus au cours de la conférence inaugurale qu’il a animée dans le cadre du déroulement de la phase finale de Clap Ivoire, mercredi, au Palais Bernard Dadié. Le bilan qu’il dresse du cinéma africain n’est guère reluisant.«La situation du cinéma africain, précisément celui au sud du Sahara, n’a pas évolué. Ce cinéma vit toujours sous perfusion par des aides à la production des organismes internationaux ». Pour le réalisateur de «La femme au couteau», le 7è art est l’organisation de la production, de la distribution et de l’exploitation de films dans un espace donné par des structures artistiques, techniques et industrielles, pour assurer une production et une diffusion dans la constance. Or il n’existe rien de semblable sous les tropiques comme c’est le cas dans les pays européens, asiatiques et américains. D’ailleurs, l’homme explique que les différentes tentatives pour poser les jalons de l’industrie d’un ou des cinémas africains ont été annihilées.
Néanmoins, il n’est pas pessimiste sur toute la ligne. Il propose, entre autres, la constitution d’un marché sous-régional. C’est dans cette optique qu’il a salué l’initiative de Clap Ivoire, ce festival concours de courts métrages qui se propose de détecter des talents, la pépinière du cinéma au sud du Sahara de demain.
Bien avant cette conférence inaugurale faisant office de cérémonie d’ouverture, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Azoumana Moutayé, a fait remarquer que Clap Ivoire est l’illustration de la prise de conscience d’une vérité évidente à l’échelle régionale. En effet, pour lui, la similitude des problèmes, l’exiguïté des marchés conseillent à l’Uemoa de rechercher des solutions communes. Il a renchéri pour dire qu’avec le cinquantenaire des indépendances des pays participants, il fallait faire un clin d’œil aux 50 ans de leur cinéma.
Le représentant de l’Uemoa, Cheick Ndir, considère, pour sa part, Clap Ivoire comme une contribution de qualité visant l’intégration des populations de l’espace communautaire.
M. Charles Koffi Charlemagne de l’Organisation internationale de la Francophonie, tout comme le maire de Yopougon, Gbamnan Félicien, ont félicité les organisateurs de cet évènement et les ont assurés de leur soutien. Quant au coordonnateur de Clap Ivoire, par ailleurs directeur du Centre national des arts et de la culture, Norbert Etranny, il a évoqué le caractère particulier de cette 10e édition qui s’inscrit dans la mouvance du cinquantenaire, avec en ligne de mire, des films qui ont marqué ce demi-siècle.
Marie Chantal Obindé
Source : Fraternite-Matin
jeudi 2 septembre 2010
Djibitv ! Devenez citoyen du monde ! - Ouverture du Clap Ivoire 2010
Djibitv ! Devenez citoyen du monde ! - Ouverture du Clap Ivoire 2010
C'est à la salle Kodjo Ebouclé du palais de la culture, que s'est tenue, la cérémonie d'ouverture de la 10ème Edition de Clap Ivoire. Ce festival concours verra la participation des pays membres de l'UEMOA dont les films seront en compétition pour le prix Kodjo Ebouclé d'une valeur de 2 millions.
brice GUIGRE
brice.guigre@dsjibi.tv
C'est à la salle Kodjo Ebouclé du palais de la culture, que s'est tenue, la cérémonie d'ouverture de la 10ème Edition de Clap Ivoire. Ce festival concours verra la participation des pays membres de l'UEMOA dont les films seront en compétition pour le prix Kodjo Ebouclé d'une valeur de 2 millions.
brice GUIGRE
brice.guigre@dsjibi.tv
Cinéma : Top départ de Clap Ivoire 2010 | Avenue 225
Cinéma : Top départ de Clap Ivoire 2010 Avenue 225
En cette année 2010, année du cinquantenaire de la Côte d’Ivoire, le festival-concours Clap Ivoire fête ses 10 ans. Le concours créé en 2000 pour les amoureux du septième art ivoirien s’est petit à petit ouvert à l’espace UEMOA. Ce concours regroupe donc les réalisateurs de cet espace de coopération économique depuis pratiquement 5 ans. Ce concours au fil des années s’est imposé comme un rendez vous incontournable des cinéastes et cinéphiles grâce au remarquable travail de Mr Yao Norbert Etrany Directeur CNAC et de son équipe.
Pour cette édition, 14 jeunes réalisateurs des 7 états membres de l’UEMOA sont en compétition en raison de 2 par pays. Le public pourra découvrir les œuvres en compétition à l’allocodrome de Yopougon Niangon Sud de 16 h à 21 h.
Au cours de la cérémonie de lancement Mr Nobert Yao Norbert Etrany Directeur CNAC a tenu à remercier les partenaires, la presse et l’OIF pour le soutien sans faille apporté au concours depuis sa création. Il n’a pas manqué de souligner les mérites de Mr Paul Charlemagne Koffi fonctionnaire ivoirien au sein de l’OIF « qui s’est personnellement investi à chaque fois pour la réussite dudit concours ».
Mr Gbamnan Djidan Jean maire de Yopougon et tuteur de cette édition de Clap Ivoire s’est félicité du choix de sa commune pour recevoir les festivaliers et a souhaité que le partenariat Clap-Ivoire/Mairie de Yopougon se perpétue pour les années avenirs. Le Ministre Moutaye Azoumana a invité les organisateurs à plus d’ambitions : « après l’UEMOA, allez à la conquête de la CEDEAO et au-delà ».
Au cours de ces 4 jours de festival, des ateliers de formation et la section écran 50 se tiendront à la Bibliothèque Nationale. Egalement, des panels seront animés à la salle de conférence du CNAC à la Tour C au plateau. Clap Ivoire 2010 est doté du prix KODJO EBOUCLE d’une valeur de 2 millions de f CFA qui récompensera le meilleur des 14 réalisateurs.
Suy Kahofi
Sous l’égide du Ministère de la culture et de la Francophonie, le Centre National des Arts et de la Culture (CNAC) organise du 1 au 04 septembre 2010, la dixième édition du festival-concours Clap Ivoire. La salle Kodjo Ebouclé du palais de la culture Bernard Dadié a accueilli ce 1er septembre, la cérémonie officielle de lancement dudit concours sous la présidence effective de Mr Moutaye Azoumana le Ministre de tutelle. Initialement prévue pour 09 h, c’est finalement à 11 h avec l’arrivée du Ministre que la cérémonie a débuté.

Pour cette édition, 14 jeunes réalisateurs des 7 états membres de l’UEMOA sont en compétition en raison de 2 par pays. Le public pourra découvrir les œuvres en compétition à l’allocodrome de Yopougon Niangon Sud de 16 h à 21 h.
Au cours de la cérémonie de lancement Mr Nobert Yao Norbert Etrany Directeur CNAC a tenu à remercier les partenaires, la presse et l’OIF pour le soutien sans faille apporté au concours depuis sa création. Il n’a pas manqué de souligner les mérites de Mr Paul Charlemagne Koffi fonctionnaire ivoirien au sein de l’OIF « qui s’est personnellement investi à chaque fois pour la réussite dudit concours ».
Mr Gbamnan Djidan Jean maire de Yopougon et tuteur de cette édition de Clap Ivoire s’est félicité du choix de sa commune pour recevoir les festivaliers et a souhaité que le partenariat Clap-Ivoire/Mairie de Yopougon se perpétue pour les années avenirs. Le Ministre Moutaye Azoumana a invité les organisateurs à plus d’ambitions : « après l’UEMOA, allez à la conquête de la CEDEAO et au-delà ».
Au cours de ces 4 jours de festival, des ateliers de formation et la section écran 50 se tiendront à la Bibliothèque Nationale. Egalement, des panels seront animés à la salle de conférence du CNAC à la Tour C au plateau. Clap Ivoire 2010 est doté du prix KODJO EBOUCLE d’une valeur de 2 millions de f CFA qui récompensera le meilleur des 14 réalisateurs.
Suy Kahofi
mardi 31 août 2010
Clap Ivoire met le cap sur les Ecrans 50
Clap Ivoire met le cap sur les Ecrans 50 .
Dimanche, 29 Août 2010 19:14 . . A la veille de la 10e édition du festival Clap ivoire, le directeur général du Centre national des Arts et de la Culture (Cnac) présente l’événement dans ses grandes lignes. interview
Parlez-nous de Clap Ivoire…De quoi s’agit-il au fait ?
C’est un concours de courts métrages destinés aux jeunes réalisateurs des huit pays de l’UEMOA (Union monétaire ouest africain, ndlr). C’était d’abord un concours national. Mais, depuis 2004, il a été ouvert aux autres pays membres de l’UEMOA.
Quels sont les conditions de participation ?
En principe, chaque pays fait sa sélection nationale pour choisir un lauréat. Mais depuis 2007, on est passé à deux : un lauréat en film de fiction et un autre en documentaire. Ensuite les lauréats nationaux se retrouvent ici à Abidjan pour la phase finale.
Pour la dixième édition, quelles sont les innovations ? Qu’est-ce qui est prévu pour cette édition 2010, placée sous le signe du cinquantenaire ?
Pour épouser l’air du temps, nous avons institué ce qu’on a appelé ‘’Ecran 50’’. Il est donc question pour tous les pays participants d’apporter des films qui ont caractérisé la période des 50 ans de leur cinéma. Des films phares et symboliques des 50 ans de cinéma des différents pays de l’UEMOA, seront donc projetés au cours du festival de Clap Ivoire.
Pour la Côte d’Ivoire, quels sont les films qui représentent les 50 de son indépendance ?
Pour le moment, nous avons procédé à la sélection de plusieurs films de réalisateurs comme Gnoan M’bala, Henri Duparc, Timité Bassori… Bref, tous les grands noms de notre cinéma !
L’entrée à Clap Ivoire est-elle payante ?
Non, elle est gratuite. Je voudrais insister sur ce point. Parce qu’un festival, c’est avant tout une fête populaire qui ne prend toute sa dimension que lorsqu’il y a du beau monde. Je lance un vibrant appel pour la cérémonie d’ouverture, le 1er septembre au Palais de la culture. C’est à la salle Kodjo Ebouclé, tout monde est cordialement invité.
Clap Ivoire attend combien de festivaliers ?
Autant de personnes que la ville d’Abidjan peut en compter !
En marge du volet compétition, les directeurs de centres cinématographiques et professionnels du cinéma mèneront du 1er au 02 septembre, d’autres activités…
Comme centres d’intérêt de Clap Ivoire, il y a naturellement le travail du jury qui siège pour désigner le grand prix Kodjo Ebouclé. Mais pour en arriver là, tous les soirs, à l’Allocodrome de Yopougon, il y aura des projections de films. Ensuite, il y a un atelier de formation qui porte sur la direction photo, dirigé par Kallet. Et à la place de la table ronde des professionnels et des directeurs de la cinématographie, nous avons institué cette année quatre panels qui vont aborder plusieurs thèmes. Le 1er septembre, lors de la cérémonie d’ouverture, il y aura une conférence inaugurale prononcée par le cinéaste Timité Bassori. La projection des films sur les 50 ans du cinéma africain auront lieu à l’auditorium de la Bibliothèque nationale, à ‘’l’espace fonction à Yopougon ‘’Toit Rouge’’, à l’Allocodrome toujours à Yopougon et à la salle Emmanuel Dioulo de l’hôtel du District d’Abidjan.
Qu’est-ce qui a été fait pour les précédents lauréats ? Certains parmi eux ont-ils émergé ?
L’un de nos principes majeurs, c’est que chaque lauréat est tenu de présenter un projet majeur au Cnac. Et que nous ensuite aidons à réaliser. Au départ, c’était des projets de type création de structures de production. Mais depuis deux ans, la plupart des lauréats choisissent d’aller se former. C’est ainsi que notre compatriote Fatou Ouattara est en formation dans une école de cinéma à Ouagadougou. Il y a eu aussi une malienne lauréate qui est allée au CIFAP à Paris. Donc, on ne se contente pas de rituel de remise de prix une fois par an. Mais suivre les lauréats pour qu’ils fassent du cinéma leur métier plus tard, nous tient bien à c?ur.
Un dernier appel à lancer ?
Aux abidjanais et habitants de Yopougon, il faut venir soutenir le maire de Yopougon qui accompagne Clap Ivoire, en allant à l’espace Ficgayo, à l’Allocodrome…pour suivre gratuitement toutes les projections.
Marcel APPENA
Propos recueillis sur RTI La 1ere
Dimanche, 29 Août 2010 19:14 . . A la veille de la 10e édition du festival Clap ivoire, le directeur général du Centre national des Arts et de la Culture (Cnac) présente l’événement dans ses grandes lignes. interview
Parlez-nous de Clap Ivoire…De quoi s’agit-il au fait ?
C’est un concours de courts métrages destinés aux jeunes réalisateurs des huit pays de l’UEMOA (Union monétaire ouest africain, ndlr). C’était d’abord un concours national. Mais, depuis 2004, il a été ouvert aux autres pays membres de l’UEMOA.
Quels sont les conditions de participation ?
En principe, chaque pays fait sa sélection nationale pour choisir un lauréat. Mais depuis 2007, on est passé à deux : un lauréat en film de fiction et un autre en documentaire. Ensuite les lauréats nationaux se retrouvent ici à Abidjan pour la phase finale.
Pour la dixième édition, quelles sont les innovations ? Qu’est-ce qui est prévu pour cette édition 2010, placée sous le signe du cinquantenaire ?
Pour épouser l’air du temps, nous avons institué ce qu’on a appelé ‘’Ecran 50’’. Il est donc question pour tous les pays participants d’apporter des films qui ont caractérisé la période des 50 ans de leur cinéma. Des films phares et symboliques des 50 ans de cinéma des différents pays de l’UEMOA, seront donc projetés au cours du festival de Clap Ivoire.
Pour la Côte d’Ivoire, quels sont les films qui représentent les 50 de son indépendance ?
Pour le moment, nous avons procédé à la sélection de plusieurs films de réalisateurs comme Gnoan M’bala, Henri Duparc, Timité Bassori… Bref, tous les grands noms de notre cinéma !
L’entrée à Clap Ivoire est-elle payante ?
Non, elle est gratuite. Je voudrais insister sur ce point. Parce qu’un festival, c’est avant tout une fête populaire qui ne prend toute sa dimension que lorsqu’il y a du beau monde. Je lance un vibrant appel pour la cérémonie d’ouverture, le 1er septembre au Palais de la culture. C’est à la salle Kodjo Ebouclé, tout monde est cordialement invité.
Clap Ivoire attend combien de festivaliers ?
Autant de personnes que la ville d’Abidjan peut en compter !
En marge du volet compétition, les directeurs de centres cinématographiques et professionnels du cinéma mèneront du 1er au 02 septembre, d’autres activités…
Comme centres d’intérêt de Clap Ivoire, il y a naturellement le travail du jury qui siège pour désigner le grand prix Kodjo Ebouclé. Mais pour en arriver là, tous les soirs, à l’Allocodrome de Yopougon, il y aura des projections de films. Ensuite, il y a un atelier de formation qui porte sur la direction photo, dirigé par Kallet. Et à la place de la table ronde des professionnels et des directeurs de la cinématographie, nous avons institué cette année quatre panels qui vont aborder plusieurs thèmes. Le 1er septembre, lors de la cérémonie d’ouverture, il y aura une conférence inaugurale prononcée par le cinéaste Timité Bassori. La projection des films sur les 50 ans du cinéma africain auront lieu à l’auditorium de la Bibliothèque nationale, à ‘’l’espace fonction à Yopougon ‘’Toit Rouge’’, à l’Allocodrome toujours à Yopougon et à la salle Emmanuel Dioulo de l’hôtel du District d’Abidjan.
Qu’est-ce qui a été fait pour les précédents lauréats ? Certains parmi eux ont-ils émergé ?
L’un de nos principes majeurs, c’est que chaque lauréat est tenu de présenter un projet majeur au Cnac. Et que nous ensuite aidons à réaliser. Au départ, c’était des projets de type création de structures de production. Mais depuis deux ans, la plupart des lauréats choisissent d’aller se former. C’est ainsi que notre compatriote Fatou Ouattara est en formation dans une école de cinéma à Ouagadougou. Il y a eu aussi une malienne lauréate qui est allée au CIFAP à Paris. Donc, on ne se contente pas de rituel de remise de prix une fois par an. Mais suivre les lauréats pour qu’ils fassent du cinéma leur métier plus tard, nous tient bien à c?ur.
Un dernier appel à lancer ?
Aux abidjanais et habitants de Yopougon, il faut venir soutenir le maire de Yopougon qui accompagne Clap Ivoire, en allant à l’espace Ficgayo, à l’Allocodrome…pour suivre gratuitement toutes les projections.
Marcel APPENA
Propos recueillis sur RTI La 1ere
samedi 28 août 2010
‘’Voici les opportunités qu’offre Clap Ivoire à la jeunesse du cinéma’’
L’inter, quotidien ivoirien d’informations nationales et internationales
Interview avec Norbert Yao Etranny, directeur général du Cnac, coordonnateur général du festival-concours Clap Ivoire :
‘’Le Cinéma dans les salles, c’est dépassé...’’ ‘’Le cinéma burkinabé est loin devant celui de la CI’’
samedi 28 août 2010 par Interview réalisée par Germain Dja K
En prélude aux festivités de la dixième édition du festival-concours Clap Ivoire, édition 2010 qui se tiendra du 1er au 5 septembre 2010, nous avons rencontré M. Norbert Yao Etranny, coordonnateur général de ce festival, par ailleurs directeur général du Centre National des Arts et de la Culture (CNAC).
Interview avec Norbert Yao Etranny, directeur général du Cnac, coordonnateur général du festival-concours Clap Ivoire :
‘’Le Cinéma dans les salles, c’est dépassé...’’ ‘’Le cinéma burkinabé est loin devant celui de la CI’’
samedi 28 août 2010 par Interview réalisée par Germain Dja K
En prélude aux festivités de la dixième édition du festival-concours Clap Ivoire, édition 2010 qui se tiendra du 1er au 5 septembre 2010, nous avons rencontré M. Norbert Yao Etranny, coordonnateur général de ce festival, par ailleurs directeur général du Centre National des Arts et de la Culture (CNAC).
Clap ivoire 2010: Deux jeunes réalisateurs sénégalais en compétition à Abidjan
allAfrica.com: Sénégal: Clap ivoire 2010: Deux jeunes réalisateurs sénégalais en compétition à Abidjan
Fatou K. Sene
27 Août 2010
Pour sa dixième édition, le festival de courts métrages destiné aux premiers films des jeunes réalisateurs de l'espace Uemoa, est prévu à Abidjan du 1er au 5 septembre 2010. Cette manifestation annuelle accueillera deux réalisateurs sénégalais, Mamadou Niang 'Leuz' pour son documentaire.
Les Pieds dans l'eau et Mamadou Thiandoum auteur de la fiction La Reine et le soleil.
La dixième édition du Festival de cinéma Clap Ivoire se tient du 1er au 5 septembre prochain dans la capitale ivoirienne. La compétition est destinée aux jeunes techniciens et réalisateurs de l'espace de l'Union monétaire ouest africain (Uemoa). Deux jeunes réalisateurs sénégalais participeront à l'évènement.
El Hadji Mamadou Niang 'Leuz' présentera son documentaire Les Pieds dans l'eau. Le sujet est d'actualité. Il traite des inondations dans la banlieue de Pikine. Tour à tour, Nomila, un jeune rappeur, le vieux Gallo Gueye et la ménagère Khardiata Ba racontent leur calvaire au réalisateur. Ils ont les pieds dans l'eau trois mois sur douze. Les images sont expressives.
Le réalisateur estime que 'c'est un thème engagé'. Leuz veut faire prendre conscience aux Africains sur la responsabilité de leur sort. 'C'est une façon de dire aux populations qu'elles ont le pouvoir de choisir les dirigeants qu'il leur faut', explique le jeune cinéaste.
Mamadou Niang a participé à l'édition 2008 du festival Clap Ivoire en tant que acteur principal du film de Massamba Ndiaye, Banc Jaaxlée. Leuz, content de concourir avec son propre documentaire, ambitionne de remporter le Grand prix Kodjo Ebouclé.
L'autre participant sénégalais est Mamadou Thiandoum. Il présentera une fiction, La Reine et le Soleil, adaptation d'un conte populaire sénégalais. C'est l'histoire de la reine Saraba qui voulait épouser le soleil. Le récit est conté par un vieil homme à un jeune garçon qui veut que son cerf-volant touche le soleil.
Les deux films, sorti en mai 2010 pour la fiction et 2009 pour le documentaire, durent chacun 13 minutes. Ils vont concourir avec 16 autres réalisations avec huit documentaires et autant de fictions venant des 8 pays de l'Uemoa.
Divers prix sont attribués lors de cette compétition. Le grand prix Kodjo Ebouclé est doté d'un montant de deux millions de Franc Cfa.
Des ateliers de formations au profit des jeunes réalisateurs seront organisés. Une table ronde sur le thème 'L'apport des journalistes culturels à la promotion du cinéma dans l'espace de l'Eemoa : l'expérience de Clap ivoire' réunira experts, directeurs de cinéma et journalistes. Un bilan des dix ans du festival sera dressé.
Fatou K. Sene
27 Août 2010
Pour sa dixième édition, le festival de courts métrages destiné aux premiers films des jeunes réalisateurs de l'espace Uemoa, est prévu à Abidjan du 1er au 5 septembre 2010. Cette manifestation annuelle accueillera deux réalisateurs sénégalais, Mamadou Niang 'Leuz' pour son documentaire.
Les Pieds dans l'eau et Mamadou Thiandoum auteur de la fiction La Reine et le soleil.
La dixième édition du Festival de cinéma Clap Ivoire se tient du 1er au 5 septembre prochain dans la capitale ivoirienne. La compétition est destinée aux jeunes techniciens et réalisateurs de l'espace de l'Union monétaire ouest africain (Uemoa). Deux jeunes réalisateurs sénégalais participeront à l'évènement.
El Hadji Mamadou Niang 'Leuz' présentera son documentaire Les Pieds dans l'eau. Le sujet est d'actualité. Il traite des inondations dans la banlieue de Pikine. Tour à tour, Nomila, un jeune rappeur, le vieux Gallo Gueye et la ménagère Khardiata Ba racontent leur calvaire au réalisateur. Ils ont les pieds dans l'eau trois mois sur douze. Les images sont expressives.
Le réalisateur estime que 'c'est un thème engagé'. Leuz veut faire prendre conscience aux Africains sur la responsabilité de leur sort. 'C'est une façon de dire aux populations qu'elles ont le pouvoir de choisir les dirigeants qu'il leur faut', explique le jeune cinéaste.
Mamadou Niang a participé à l'édition 2008 du festival Clap Ivoire en tant que acteur principal du film de Massamba Ndiaye, Banc Jaaxlée. Leuz, content de concourir avec son propre documentaire, ambitionne de remporter le Grand prix Kodjo Ebouclé.
L'autre participant sénégalais est Mamadou Thiandoum. Il présentera une fiction, La Reine et le Soleil, adaptation d'un conte populaire sénégalais. C'est l'histoire de la reine Saraba qui voulait épouser le soleil. Le récit est conté par un vieil homme à un jeune garçon qui veut que son cerf-volant touche le soleil.
Les deux films, sorti en mai 2010 pour la fiction et 2009 pour le documentaire, durent chacun 13 minutes. Ils vont concourir avec 16 autres réalisations avec huit documentaires et autant de fictions venant des 8 pays de l'Uemoa.
Divers prix sont attribués lors de cette compétition. Le grand prix Kodjo Ebouclé est doté d'un montant de deux millions de Franc Cfa.
Des ateliers de formations au profit des jeunes réalisateurs seront organisés. Une table ronde sur le thème 'L'apport des journalistes culturels à la promotion du cinéma dans l'espace de l'Eemoa : l'expérience de Clap ivoire' réunira experts, directeurs de cinéma et journalistes. Un bilan des dix ans du festival sera dressé.
Clap ivoire 2010: Deux jeunes réalisateurs sénégalais en compétition à Abidjan
Walf FadjriClap ivoire 2010: Deux jeunes réalisateurs sénégalais en compétition à Abidjan
Inscription à :
Articles (Atom)