
Fatouma Ouatara avec son film, «Affaire d'Etat» et Mahamadou Djigarey et son film «Wass Wong en live» sont respectivement les lauréats des premier et deuxième prix de fiction du concours Clap Ivoire. Les premiers et deuxième prix de la catégorie documentaire ont été décernés au togolais, Kossi Messah Obanikoua pour son documentaire «Les trompettes de Amen» et à l'ivoirien, Charles Aka pour son film «Un village d'animaux, le zoo national d'Abidjan». Le prix spécial du jury est revenu au réalisateur béninois Noupko Christian Whannou, pour son documentaire «Le calebassier». En fin, le grand prix Kodjo E

Au cours de la cérémonie de clôture, le samedi dernier, Yao Norbert Etranny,corrdonnateur général de Clap Ivoire à souhaité que les jeunes réalisateurs africains fassent preuve de plus d'ingénuité et de professionnalisme dans la conception de leurs oeuvres. Il propose que les phases de présélections locales soient organisées avec beaucoup plus de rigueur afin de permettre aux candidats désignés pour la finale de refléter le niveau réel du cinéma dans leur pays. Les participants, à travers une motion adressée aux organisateurs du concours ont exprimé toute leur reconnaissance pour l'opportunité qui leur est offerte de se rencontrer et d'échanger. Au cours de la soirée de gala qui a été présidée par Sophie Appiah, directrice de cabinet du ministre de la Culture de Côte d'Ivoire, les participants ont bénéficié chacun d'une attestation de participation. Ainsi, du 4 au 8 septembre 2007, la ville d'Abidjan a été le théâtre de plusieurs manifestations. Les participants au concours ont pris part entre autres à trois ateliers sur les thèmes, « La production cinématographique », « La préparation technique d'un tournage », et «Les ponctuations cinématographiques » animés respectivement par l'expert, Lanciné Kramo Fadika, le réalisateur Kitia Touré et le cinéaste béninois, François Sourou Okioh. Par ailleurs, une table ronde a réuni les directeurs de la cinématographie des pays de l'Uemoa sur le thème, «De l'argentique au numérique, rupture ou compatibilité ». Au terme de cette dernière rencontre, de nombreuses résolutions ont été prises au profit du développement du septième art en Afrique. Franck Raoul PEDRO
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